Récemment, en présence de Jérôme Cros, président du centre communal d’action sociale (CCAS) et maire de Soult, a eu lieu l’installation du premier conseil de vie sociale (CVS).
Ouverte par le CCAS de Soult en février dernier, « La Maison de Marie Louise » est une petite résidence autonomie à taille humaine. Elle est composée, en effet, de cinq appartements équipés (réfrigérateur, plaque de cuisson, four et lave-linge) et non meublés allant de 30 à 60 m2.
Les résidents qui y vivent bénéficient, dans le cadre de la Résidence autonomie, d’un repas par jour (ici le midi) pris ensemble dans la salle à manger de la résidence et peuvent, s’ils le souhaitent, choisir de façon optionnelle des services supplémentaires (repas, service ménage, accompagnement personnalisé, service soins).
Mercredi, en présence de Jérôme Cros, a eu lieu l’installation du premier conseil de vie sociale de cette résidence autonomie. Il s’agit d’une instance constituée de représentants des locataires et/ou de leurs proches, ainsi que d’élus pour les professionnels, représentant la structure. Cette instance se réunira plusieurs fois par an, afin de soumettre à titre consultatif les projets d’investissement ou d’organisation liés aux prestations proposées et à la vie de la maison. La première réunion a permis d’élire un président parmi les représentants des locataires : Monsieur Bernard Deles.
« Malgré la petite taille de la résidence, nous avons fait le choix d’installer un CVS pour répondre aux spécificités de ce genre d’accueil. Cela permet de le différencier de celui de la maison de retraite, de prêter une écoute particulière aux habitants de la « Maison de Marie-Louise », de leur donner ainsi la possibilité d’être acteurs de leur quotidien, explique Sofia Chbeir, directrice du pôle SAGES (Saint-Amans Age Services). Cette instance nous a semblé essentielle pour améliorer la qualité de nos prestations mais aussi permettre et renforcer un lien participatif avec les résidents, lien qui existe déjà, grâce certainement à la petite taille de la résidence. Cette dimension humaine permet de réels échanges entre les résidents, à la fois respectueux et solidaires. Elle nous permet, quant à nous professionnels, d’entourer ces personnes (animation, appui technique, aide administrative, etc) de notre savoir-faire et plus encore des relations humaines qui nous semblent centrales. »
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